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Cliché courtoisie Vénerie |
Aujourd'hui la consommation même de viande, ou l'utilisation de tout produit venant de l'animal, est mise en cause ; de récents mouvements deviennent violents à l'égard des boucheries et de leurs clients, mettant en cause des siècles de relations de l'homme avec la nature et le monde animal en particulier.
Et arrive maintenant le "lundi" ou autre "Jour sans viande" ! Pourquoi pas peut-être, mais l'homme reste bien par nature un omnivore, donc en partie carnivore.
Avant de devenir sédentaire et cultivateur, il était chasseur-cueilleur pour se nourrir.
La chasse à courre, qui consiste à "forcer" les animaux avec des chiens, est l'un de nos plus anciens modes de capture des grands animaux sauvages. Elle est souvent la première critiquée et est en même temps le premier rempart de toute la chasse.
Pour l'équilibre de la forêt, face aux dégâts parfois très graves, les forestiers privés comme publics confient la régulation à l'ensemble des chasseurs, les seuls à pouvoir réduire les densités excessives de grands ongulés et contrôler ces populations au bénéfice parfois de la survie de la forêt.
Dans ce contexte, l'AFEF est heureuse de vous proposer, le 22 janvier 2019 à 8 h, le thème :
"la chasse à courre, enjeux et difficultés".
Le conférencier sera Pierre de Roualle, président de la Vénerie française, ou son directeur de la communication, Antoine Gallon (la société de Vènerie regroupe tous les équipages français de vènerie).
Selon l'habitude, la conférence avec débats aura lieu au Club de la
Chasse et de la Nature, 60 rue des Archives, 75003 Paris ; merci de confirmer votre présence.
Inscription auprès de Bernard Gamblin : betmc.gamblin@cegetel.net, réponse avant le 16 janvier à midi. Tarif
25 € (adhérent AFEF 20 €), payable sur place à l'ordre de l'AFEF.